En réponse à une question parlementaire de Katrien Schryvers, l'administration fiscale de la Flandre a publié différentes données statistiques intéressantes concernant l'évolution récente des legs en faveur des organisations d'intérêt général domiciliées en Flandre.
-> Katrien Schrijvers - 'Elke dag drie legaten aan het goede doel'
Quelque 733 legs ont été enregistrés en 2017 en faveur de 1.080 organisations d'intérêt général, pour un montant moyen de 340.000 euro.
Si le montant total est en augmentation de 442% par rapport à l'année 2016, l'administration précise que ce résultat exceptionnel est fortement influencé par un legs de plus de 100 millions d'euro en faveur d'une organisation dont le nom reste confidentiel.
Certaines thématiques, au nombre desquelles la santé et la protection animale, suscitent depuis longtemps davantage de générosité de la part des testataires. Gaia reconnait avoir reçu en 2017 près de deux millions d'euro au départ de legs, soit près de 50% des recettes de l'organisation.
Pour l'équipe en charge de la campagne nationale Testament-Be, contactée par Gazet van Antwerpen (10/04/2018), la croissance durable des legs en faveur de causes d'intérêt général bénéficie sans doute de l'impact de cette campagne, mais est également boostée par des tendances démographiques, tel que le vieillissement de la génération baby-boom, et par le succès croissant des legs en duo.
Mais il n'est pas inutile de rappeler que le legs en duo est dans certains cas une formule peu intéressante pour les associations bénéficiaires.
Marnix Puype (Testament-Be) conseille à ces dernières de se mettre à l'abri de mauvaises surprises, en exigeant de bénéficier d'au minimum 45% du montant de la transaction.
Répartition inégale des legs
Une fois encore plusieurs médias, tel De Morgen (11/04/2018 et Het Laatste Nieuws (11/04/2018) soulignent l'incontestable croissance des legs en faveur de causes d'intérêt général, sans jamais préciser que cette tendance ne profite essentiellement qu'à quelques dizaines d'organisations à forte notoriété.
Le dernier Baromètre de la Générosité publique (année 2016) édité par le Fundraisers Forum a confirmé cette tendance, qui avait déjà été observée les années précédentes.
-> Lire 'Baromètre de la générosité publique (2015-2016)'
-> Autre article relatif à l'évolution des legs en faveur de causes s'intérêt général (Région flamande, 2017):
De Dikke Blauwe (08/05/2018) - 'Bijna kwart meer erfenissen in Vlaanderen naar goede doelen'
-> Autres articles d'actualité archivés sous 'Dons & legs (Belgique): chiffres-clés'
La Fondation Donorinfo publie son quatrième baromètre de la santé financière des associations.
Donorinfo est une fondation indépendante qui scrute les comptes et la gouvernance d'associations qui optent pour la transparence volontaire.
Les comptes 2016 de 229 associations laissent apparaître une croissance globale des ressources émanant de la générosité publique (165 millions d'euro). Le Baromètre Donorinfo ne distingue toutefaois pas l'apport respectif des dons et des legs.
Toute reproduction d'informations concernant cette étude est soumise à de strictes conditions !
Elle est par contre disponible en téléchargement sur le site de l'association.
Vendredi 27 avril 2018 - En réponse à une question parlementaire posée par Madame Fonck (CDH), le SPF Finances a reconnu le 25 avril dernier que les statistiques publiées peu avant par le Ministère des Finances concernant les dons recueillis en 2016 ne se rapportent qu'aux premiers mois de cette année.
Ces chiffres et ne reflètaient aucunement l'évolution globale de la générosité des belges sous forme de dons, comme le SPF l'avait laissé croire peu de temps auparavant.
La Libre Belgique du lundi 9 avril (lien) s'était fait l'écho d’une déclaration de Madame Catherine Fonck, députée fédérale humaniste (CDH), qui se basait également sur les données incomplètes publiées par le SPF Finances.
Le JT de la RTBf du 9 avril (19h30) avait à son tour fait état d'une baisse spectaculaire des dons, de l'ordre de 47%, entre les années 2015 et 2016.
S'appuyant sur ces mêmes données, la Nouvelle Gazette (édition du 28/03/2018) avait noté que la générosité des Wallons demeurait comme précédemment inférieure à celle des habitants du Nord du pays.
Le JT de la RTBf du 9 avril (19h30) avait également consacré une séquence aux récentes statistiques communiquées par le Ministère des Finances (confer visuel RTBf), sans préciser que les comptes 2016 des principaux acteurs de la collecte font état de résultats nettement moins inquiétants.
Les données financières partielles publiées par le SPF Finances ont ainsi créé un malentendu rapidement dissipé par d'autres sources statistiques qui témoignent d'une évolution nettement moins inquiétante de la générosité des belges.
Le Fundraisers Forum produit chaque année un Baromètre de la Générosité publique, qui se base principalement sur des données financières fiables transmises par l'AERF (Association pour une Ethique en Collecte de Fonds) et la Fondation Donorinfo.
ll ressort de nos estimations relatives aux années 2015 et 2016, sur un échantillon de grandes et petites associations totalisant plus de 280 millions de recettes issues de dons (hors legs), que l'évolution des dons (ce y compris les dons non liés à une attestation fiscale) s'est pour l'essentiel stabilisé (+ 1%) au cours de cette période.
Nous reproduisons en fin d'article le tableau récapitulatif du TOP 30 des principaux acteurs de la collecte qui ont publié le montant total des dons pour 2015 et 2016.
Si le niveau des dons tend à se stabiliser en Belgique, les grandes associations ont par contre bénéficié en 2016 d'une hausse spectaculaire des legs.
Nombre d'associations reconnaissent toutefois que le maintien du niveau actuel de collecte nécessite la mobilisation de ressources de plus en plus conséquentes, notamment pour compenser chaque année - au travers de campagnes de prospection qui sont inévitablement coûteuses - la perte de donateurs devenus inactifs.
-> Lire notre article complet relatif au Baromètre 2015-2016 de la Générosité
Pour plus d'infos: contacter Hugues d'Ydewalle - Coordinateur Fundraisers Forum - info <at> fundraisers.be - 0474 32 93 60
-> Liste des articles de ce site archivés sous Archives 2013-2017 - Dons & legs (Belgique): chiffres-clés
Nous publions ci-dessous:
-> Autres articles de ce site archivés sous Archives 2013-2017 - Dons & legs (Belgique): chiffres-clés
Sorry, geen Nederlandse versie
Omwille van de beperkte middelen waarover wij beschikken kan het Fundraisers Forum voorlopig geen Nederlandse versie van dit verslag bezorgen.
Gelieve ons hiervoor te verontschuldigen.
De 'Top 30' resultaten - confer infra - zijn wel in beide landstalen beschikbaar.
Le Baromètre de la Générosité, publié à l’initiative du Fundraisers Forum, analyse l’évolution des dons et legs en faveur des causes humanitaires ou sociales.
L'édition 2016 a été réalisé au départ des résultats comptables d'un échantillon de 312 associations qui ont collecté 434 millions d'euro en 2016.
Tendances significatives
La période 2015-2016 se caractérise principalement par une hausse des legs en faveur d'une soixantaine de grands acteurs de la collecte.
Les organisations caritatives de taille moyenne profitent également de la hausse des legs, mais le nombre d'associations qui en bénéficient est relativement faible. Légère progression des dons.
Les plus petites associations connaissent une belle croissance des dons.
Mais elles ne perçoivent au total qu'un très faible pourcentage de la hausse de la générosité publique, puisque celle-ci est surtout influencé par la croissance des legs.
L'augmentation globale de la générosité publique a atteint 10% fin 2016.
Nous expliquons toutefois plus loin dans ce compte-rendu que les plus petites associations sont sous-représentées dans notre échantillon, en sorte que l'estimation de 10% est probablement surévaluée.
Précisons en outre que la hausse résulte presqu'exclusivement des recettes issues de legs, donc de contribution de personnes décédées avant 2016.
On peut raisonnablement en conclure que les contributions que nos concitoyens ont versé 'de leur vivant' durant l'année 2016 n'ont globalement guère augmenté en comparaison avec l'année précédente.
Méthodologie
Nous présentons l’évolution 2015-2016 de la générosité publique en discernant trois catégories d’associations, regroupées selon le total des dons et legs qu’elles avaient collecté en 2015.
Notre échantillon comprend 312 organisations dont les comptes détaillés 2015 et 2016 ont pu être intégrés dans notre Baromètre:
Le Tableau 2 distingue, pour chacune de ces trois catégories, les organisations dont la collecte globale (dons+legs) a été soit en hausse soit en baisse entre 2015 et 2016.
Si les petites autant que les grandes associations bénéficient d'une croissance globale de la générosité, le montant global de cette augmentation des dons et legs profite à hauteur de 78 % - soit 30,2 millions d'euro - aux plus grands acteurs de la collecte.
Au départ de la même subdivision de l'échantillon sur base du total des dons et legs collectés en 2015, une analyse de l'évolution des contributions issues uniquement des dons laisse apparaître une très faible variation sur la période 2015-2016.
La croissance moyenne des dons, qui s'élève à 1% dans cet échantillon, fait état d'une diminution moyenne de 2% des dons collectés par les plus petites associations.
Le solde net entre le total des dons collectés en 2016 et en 2015 s'élève à 2,9 millions d'euro, et profite à hauteur de 63% aux plus grands acteurs de la collecte.
La croissance de la générosité issue des legs s'élève dans notre échantillon à 34,6 millions d'euro, soit une hausse de 32%.
Ce chiffre est cependant trompeur, car il résulte d'une sur-pondération, dans notre échantillon, des plus grands acteurs de la collecte qui ont enregistré une augmentation exceptionnelle des legs (+ 27%) dans le courant de l'année 2016.
Les pourcentages élevés concernant les catégories 'B' et 'C' sont peur significatives, car elles traduisent d'importantes fluctuations annuelles au niveau des rares legs dont les organisations de ces deux catégories bénéficient.
Le pourcentage national d'augmentation des legs est difficile à évaluer, de même que l'exercice est également difficile - comme indiqué plus haut - concernant le pourcentage national d'augmentation des dons.
Nous ne disposons en effet de peu d'informations quant au nombre d'acteurs de la collecte de taille moyenne ou modeste qui bénéficieraient également de recettes significatives issues des legs.
Le Tableau 7 donne toutefois des indications significatives concernant la part de la croissance net des legs, qui profite à hjauteur de 82% à la soixantaine d'organisations de la catégorie "A", qui figuraient déjà en 2015 parmi les plus grands acteurs de la collecte
Si la présente étude statistique ne permet guère d'établir avec certitude les pourcentages d'augmentation des dons ou des legs au plan national, elle établit par contre des estimations probablement fiables concernant chacune des trois catégories d'organisations que nous avons classées selon l'importance de leur collecte (dons + legs) en 2015:
Grands acteurs de la collecte (minimum 1 million d’euro)
Collecte de niveau moyen (entre 100.000 € et 1 million d’euro)
Petits acteurs de la collecte (moins de 100.000 €)
Les structures de taille moyenne et les plus petites associations sont impliquées pour la plupart dans des domaines spécialisés qui bénéficient d'une moindre notoriété, ou dans des actions de proximité: aide aux jeunes en difficulté, accompagnement de personnes handicapées, lutte contre la pauvreté.
Dualisation du marché de la collecte ?
Nous assistons probablement à une dualisation progressive du marché de la collecte.
Cette évolution s'inscrit dans une tendance qui est également observée ailleurs en Europe, quoique de manière moins accentuée.
Elle s'explique pour partie du fait que les plus grandes organisations collaborent plus souvent avec des agences commerciales dans la mise en oeuvre de méthodes particulièrement proactives de prospection et de fidélisation de leurs donateurs: street fundraising, telemarketing ainsi que dans certains cas échange de fichiers de donateurs.
En outre l'augmentation significative des legs en faveur de causes d'intérêt général profite presqu'exclusivement aux causes à forte notoriété, qui bénéficient par ailleurs déjà d'importantes recettes issues des dons.
La répartition de la générosité publique par domaines d'intervention confirme l'engagement persistant des belges en matière de solidarité internationale, ainsi que pour un large échantillon de causes dans le secteur de la santé.
Les dons et legs en faveur de la recherche privilégient également le domaine médical.
Citons, au nombre des domaines d'intervention qui ne sont pas intégrés dans ce tableau par manque de données financières disponibles, les secteurs du patrimoine et de la culture ainsi que celui de la protection animale (refuges pour animaux).
Nous publions en fin d'article trois classements qui listent le TOP 30 des plus grands acteurs de la collecte, au plan national ainsi qu'en Belgique francophone et en Flandre.
Les belges manifestent volontiers leur solidarité en participant à divers événements caritatifs : concert, dîner ou gala de prestige, parrainage d’un proche qui s’est engagé à courir pour une bonne cause.
Les évènements caritatifs contribuent globalement à hauteur de 7% aux recettes issues de la générosité publique.
Ce pourcentage s’élève cependant à 40% dans le cas d'associations qui collectent moins de 100.000 €.
Les 20 km de Bruxelles, de même que l’Oxfam Trailwalker et d’autres défis sportifs solidaires permettent aux associations de sensibiliser et de fidéliser des publics plus jeunes, heureux de participer à un évènement collectif festif et solidaire.
Les recettes issues des défis sportifs solidaires sont cependant loin d'atteindre les records engrangés dans le cadre d'événements similaires aux Pays-Bas ou au Royaume-Uni. On pointera volontiers le résultat remarquable des '1.000 kms tegen kanker' de Kom op tegen Kanker, qui permit de collecter près de 4 millions d'euro en 2016.
La croissance des legs en faveur de causes d’intérêt général est impressionnante.
Elle varie d’année en année, mais s’inscrit dans une tendance à la hausse qui est également observée dans la plupart des pays voisins.
Le tableau récapitulatif des évolutions observées sur quatre années (voir ci-dessous) confirme le caractère structurel de cette hausse, qui ne bénéficie sauf rares exceptions qu'aux grandes organisations caritatives.
Les testataires priviligient en priorité, ici comme ailleurs en Europe, diverses thématiques liées à la santé.
Plus de 80 millions d’euro ont été légués en 2016 en faveur de programmes d'assistance médicale, de lutte contre le cancer et de recherche médicale.
Ce montant représente plus de 50% des legs de cette année.
L’apport en legs a été exceptionnellement profitable au WWF (12,6 m €) ainsi qu’à Espace Social Télé-Service (+ 3,5 m €), une structure de taille plus modeste qui perçoit moins de 200.000 € en dons par an.
Les recettes issues des legs fluctuent d’année en année, causant de fortes variations dans le total des ressources des associations bénéficiaires.
Les campagnes de solidarité menées à l’initiative de divers médias radio-télévisés ont bénéficié d’une belle progression en 2016.
Les opérations Cap 48, Viva for Life et Télévie, ainsi que Music for Life et Rode Neuzen Dag dans le nord du pays, ont collecté un montant global de 41 millions d’euro.
Il arrive que le montant annuel des dons soit influencé par la mobilisation exceptionnelle du public à l'occasion d'une urgence humanitaire.
Et bien qu'elles soient en hausse, les contributions issues des legs varient également d'une année à l'autre.
Mieux vaut dès lors mesurer l'évolution de la générosité publique au départ de données qui couvrent plusieurs années, de manière à dégager des tendances réellement significatives.
C'est ce dont rend compte le tableau suivant, basé sur un échantillon de associations de 253 associations, regroupées en trois catégories selon le total des dons et legs collectés en 2016.
Comparaison sur base d'une période de quatre années indique que 58 grands acteurs de la collecte ont enregistré en 2016 en hausse de plus de 60 millions d'euro par rapport à 2013, alors qu'à l'autre extrème 112 organisations qui collectent moins de 100.000 € par an stabilisaient leur apport en dons et subissaient une diminution - peut-être accidentelle - des legs.
On notera que la stabilisation des dons (+2%) ne couvre pas même l'inflation cumulée sur ces quatre années.
Précisons, concernant ce dernier point, que la catégorie des associations collectant moins de 100.000 € est particulièrement sensible à l'évolution des recettes issus des legs.
Les recettes issues des dons et legs ne semblent donc pas avoir bénéficié au cours des années 2013 à 2016, pour ce qui concerne les asssociations qui collectent moins d'un million d'euro sur base annuelle, d'une croissance supérieure à l'inflation.
Or celles-ci représentent environ 95% des organisations actives en collecte de fonds.
Ce constat nous oblige à relativiser les déclarations qui donnent à penser que la philanthropie serait un 'booming business', ou qui saluent avec insistance la générosité croissante des belges.
C'est ainsi que les conclusions de l'intéressant Baromètre de la Philanthropie, produit en avril 2017 à l'initiative de la Fondation Roi Baudouin (lien), se veulent optimistes alors qu'elles ont été établies au départ d'une méthodologie qui ne permet pas de cerner la situation précaire d'une majorité significative d'organisations dont la levée de fonds plafonne depuis plusieurs années.
-> Lire: 'La philanthropie, une affaire florissante ?' - Opinion (La Libre Belgique du 07/05/2017) (lien)
Quelque 2.000 associations bénéficient de l'autorisation délivrée par le SPF Finances qui leur permet d'octroyer une attestation fiscale pour les dons d'un montant annuel de minimum 40 euro.
Mais pas même un quart d’entre elles publient sur leur site le minimum de données financières qui permettent au donateur d'identifier le montant des dons et des legs, ainsi que les budgets qui sont affectés aux frais de collecte, aux frais généraux et surtout aux projets pour lesquels la générosité du public est sollicitée.
Le secteur des structures actives dans le secteur de la protection animale – et notamment les refuges pour animaux – est pour cette raison largement sous-représenté dans ce Baromètre de la Générosité publique.
Ces piètres résultats en matière de transparence financière n'entament heureusement pas la confiance des donateurs. Le dernier Baromètre de la Philanthropie, publié à l’initiative de la Fondation Roi Baudouin, confirmait que plus de 70% des belges s’estiment suffisamment informés pour faire leur choix.
L’Association pour une Ethique dans les Récoltes de Fonds (AERF) et la Fondation d'utilité publique Donorinfo s’appliquent d'ailleurs depuis plusieurs années à encourager une plus grande transparence des acteurs de la collecte.
Ces deux instances collectent et publient une synthèse des comptes de plus de deux cents organisations caritatives. Le Baromètre de la Générosité publique s'en inspire largement.
Plateforme dédiée à l’information, à la formation et à la réflexion, le Fundraisers Forum a été créé à l’initiative de l’ASBL Give Wisely (Donnez intelligemment) grâce au soutien bénévole de divers acteurs issus du secteur associatif.
Attentif à préserver le secteur de la collecte de tout risque de dérive commerciale ou de marchandisation de la générosité publique, le Fundraisers Forum organise des séminaires et des formations de base à Bruxelles et dans les différentes provinces du pays.
Pour plus d'infos concernant la Baromètre de la Générosité publique, veuillez contacter
Hugues d'Ydewalle, Coordinateur Fundraisers Forum, info <at> fundraisers.be - Mobile 0474 32 93 60
Les tableaux récapitulatifs proposés ci-dessous reprennent le TOP 30 des plus grands acteurs de la collecte identifiés d'une part au plan national, d'autre-part en Belgique francophone et en Flandre.
Les résultats des classements 'Top 30' prennent en compte l'ensemble les recettes issues des dons, legs, événements caritatifs, ventes et autres contributions issues de la générosité publique.
Ces données sont incomplètes du fait que plusieurs grands acteurs de la collecte choisissent de ne pas publier ou fournir d'information détaillée concernant les contributions reçues de leurs donateurs.
Comme indiqué plus haut, la variation des recettes issues de la générosité publique est souvent influencée, dans les différents 'TOP 30', par l'apport irrégulier des contributions issues des legs.
Nous publions ci-dessous:
-> Autres articles de ce site archivés sous Archives 2013-2017 - Dons & legs (Belgique): chiffres-clés