Plaidoyers en faveur des 'direct mail premiums'
L'envoi d'appels aux dons accompagnés de cadeaux non-sollicités relèvent d'une technique utilisée depuis longtemps par nombre d'agences commerciales de fundraising, principalement dans le monde anglo-saxon.
Ces entreprises insistent volontiers sur le rendement supérieur que ces mailings produisent, du moins à court terme.
Elles ne semblent guère s'inquiéter des effets négatifs causés par l'irritation suscitée par cette pratique au niveau de certains usagers.
La plupart des grands acteurs de la collecte opérant en Belgique préfèrent dès lors ne pas recourir à la technique 'direct mail premiums'.
Mais on compte au minimum une trentaine d'associations belges qui en font usager (confer visuel).
Citons, parmi les principaux articles d'origine anglo-saxonne consacrés à cette technique et consultables en ligne :
- Amy Koop (2005) – ‘Focus on Premiums’
- Sean Triner (Pareto Fundraising) (2013) – ‘The new big thing in fundraising: direct mail’
- Rob Edwards - (16/11/2016) – ‘Lower premiums for Premium mailings ?’
- Grant Novins (29/08/2016) – ‘Your Direct Mail Strategy: the benefits of using high-impact premiums’
- Pia Payne (septembre 2016) – ‘Direct Mail Premiums: Pros and Cons from a former Pro’
- Sean Triner (26/06/2017) – ‘Do I still love Premiums ?’
-> Autre article sur le même thème: 'Le RGPD et l'envoi de cadeaux non-sollicités'