Ter gelegenheid van de Dag van de 4de Pijler (27 februari) publiceerde MO* de resultaten van een enquête waaraan 192 organisaties - van de 610 die geregistreerd zijn bij het Steunpunt Vierde Pijler - deelnamen.
Uittreksels:
Het begrip 'Vierde Pijler' werd een tiental jaar geleden gelanceerd door Patrick Develtere, toen directeur van het Hoger Instituut van de Arbeid: ‘Alle initiatieven gericht op ontwikkelingssamenwerking die niet behoren tot de andere drie pijlers (overheid, multilaterale instellingen of niet-gouvernementele organisaties), zijn 4de Pijlers.’
Het artikel van Gie Goris, hoofdredacteur MO*, zet de meest markante vaststellingen op een rij:
Bron:
In: http://www.mo.be/nieuws/1300-organisaties-35000-vrijwilligers-140000-donateurs-67-miljoen-euro
-> Andere artikels m.b.t. statistieken over vrijgevigheid: Archives 2013-2016 - Dons & legs: chiffres-clés
La dernière version de ce baromètre a été réalisée par le bureau IPSOS sur base de 700 enquêtes et 8 entretiens, en tenant compte de quota par secteurs d’activité, régime linguistique et taille de l’association.
L’enquête a eu lieu entre le 1er octobre et le 16 novembre 2015. Un tiers des associations participantes appartiennent au secteur social, 24% à celui de la santé, 19% au monde culturel, 14% des organisations sont actives dans la coopération au développement et 11% appartiennent au secteur de l’environnement.
Dons et legs
L’enquête n’a pas tenté d’établir dans quelle mesure les associations entendent renforcer leur financement au départ d’un recours plus intensif aux dons, legs ou événements caritatifs.
Recours accru au mécénat: voeu ou réalité ?
L’étude croit par contre pouvoir déceler un appel plus fréquent aux institutions privées et aux entreprises.
Elle n’établit pas pour autant dans quelle mesure ce recours au mécénat ainsi qu’aux fonds et fondations produit des résultats significatifs.
« En 2015, plus que jamais, les associations ont pris une nouvelle direction : la tendance générale est de faire plus souvent appel aux institutions privées et aux entreprises pour obtenir des financements.
Cette évolution n’est pas sans conséquence non plus :
Les associations doivent se rendre attractives pour le secteur privé.
Elles doivent démontrer l’impact social qu’elles ont, elles doivent démontrer leur contribution à la société.
Les associations doivent prendre des engagements en matière de résultats.
Les associations sont obligées de se professionnaliser et d’adopter les méthodes du secteur privé. " (slide 19)
En matière de recours à la générosité du secteur privé, l’étude IPSOS croit déceler des différences régionales et/ou liées à la taille des associations :
« Se tourner vers le secteur privé n’est pas perçu positivement par toutes les associations.
Les associations wallonnes considèrent que se tourner vers le privé et en adopter les méthodes de travail, c’est s’éloigner de leurs propres valeurs-clés et privilégier les résultats quantitatifs par rapport aux résultats qualitatifs.
Les associations flamandes considèrent qu’adopter les pratiques du secteur privé est positif et représente un challenge intéressant pour le secteur.
Les associations, qui ont vu le jour dans les années 70 ou 80 et qui sont devenues entretemps de grandes structures sont moins flexibles par rapport à cette adoption du modèle privé. Leurs activités sont anciennes et figées. Elles sont moins ouvertes à l’innovation.
Les associations qui ont été créées récemment sont plus flexibles et ouvertes à l’innovation. » (slide 20)
Source:
Fondation Roi Baudouin – Baromètre de la situation financière des associations (document téléchargeable)
-> Lien vers d'autres articles archivés sous Archives 2013-2016 - Etudes & Sondages (hors 'Chiffres-clés de la générosité publique').
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Onder deze titel publiceerde De Tijd (14 November 2015) een onderzoek over de financiële situatie van de Belgische NGO's.
Uit de vele conclusies van dit interessant dossier plukten wij volgende gegevens:
Het dossier van De Tijd bespreekt vier thema's - 'Afkicken van subsidies' - 'Nieuwe inkomsten vinden' - 'Stevig spaarpotje is geen overbodige luxe' - 'Meer efficiëntie is politiek aandachtspunt' - evenals diverse financiële trends (zie Tabel hieronder).
Voor een correcte interpretatie van deze indicatoren is een consultatie van de jaarverslagen van de betrokken verenigingen zeker aangewezen.
Bron:
De Tijd - 'Ngo’s moeten steeds harder knokken om uw centen', 14 november 2015
-> Link naar andere artikels i.v.m. Archives 2013-2015 - Dons & legs: chiffres-clés
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Publiée sur base annuelle à l'initiative de la société d'assurances Allianz, l'étude Global Wealth Report propose une estimation du patrimoine financier des ménages les plus aisés, sur base de données collectées dans pas moins de 50 pays.
-> Article précédant sur le même thème: Global Wealth Report 2014: 'Les riches encore plus riches'
L'édition 2015 de l'étude pointe diverses évolutions significatives concernant le patrimoine financier des belges:
Pour plus d'infos:
Global Wealth Report 2015, étude téléchargeable sur le site d'Allianz.
-> Lien vers les articles d'actualité sous Archives 2013-2015 - Etudes & Sondages.
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19 juin 2015 - Le Global Wealth Report est produit à l’initiative du consultant Cap Gemini, associé à RBC Wealth Management.
Il réactualise d’année en année diverses données statistiques relatives l’évolution mondiale des grands patrimoines.
L'étude de Cap Gemini est élaboré sur base d’un bilan de tous les revenus et patrimoines, à l’exception de la résidence principale.
La dernière édition du rapport relève que notre pays comptait 102.800 millionnaires en dollars en 2014, soit 1 % des ménages belges.
Ce pourcentage est plus élevé qu’en France ou au Royaume-Uni.
La Belgique est à cet égard le pays d’Europe qui a connu la plus forte progression entre 2013 et 2014.
Interrogé par la Libre Belgique (19/06/2015), Robert van der Eijk, CEO du consultant en Belgique et au Luxembourg, est d’avis que l’accroissement récent des fortunes belges a été positivement influencé par d’excellents rendements boursiers, ainsi que par les régularisations fiscales et la bonne tenue de l’immobilier de luxe.
L’étude de Cap Gemini aborde la question de l’Impact Investment, et notamment de l’intérêt manifesté par un nombre croissant de personnes fortunées à l’égard d’investissements à finalité sociale.
Une des questions cherche à identifier les principales instances consultées par les familles aisées (figure ci-dessous).
On se doute de ce que que la catégorie 'Social Impact Experts incl. Philantropy experts', qui intervient à hauteur de 10% dans les réponses, fait référence à des métiers et compétences davantage en usage dans les pays anglo-saxons.
Robert van der Eijk précise dans La Libre Belgique qu'au niveau de notre pays « les millionnaires jeunes et féminins sont plus exigeants par rapport à leur gestionnaire de fortune. Souvent, ils veulent un placement qui a un impact social."
Pas moins de trois institutions - Cap Gemini, Credit Suisse et l’ECB (European Central Bank) - s’emploient à produire des estimations relatives à la répartition mondiale des millionnaires en dollars.
Il n'est guère inutile de rappeler ici que leurs études s'appuient sur des sources et des méthodes d’analyse relativement différentes.
Elles produisent dès lors des estimations fort divergentes, notamment en matière de statistiques relatives au nombre de millionnaires belges en dollars.
Sources d'infos:
- Cap Gemini: 'Global Wealth Report' (document téléchargeable)
- La Libre Belgique (17/06/2015): 'Un Belge sur cent est millionnaire'
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